Janvier a été l’occasion de nombreuses petites fêtes partagées avec nos familles amies. Pas de doute, chez Y. et sa petite sœur, ça ne manquait pas d’air ! Dimanche 30 janvier, après le repas, Y. a soufflé ses 10 bougies Il
En théorie ça devrait être simple, c’est même un droit, la Banque de France se chargeant de désigner un établissement bancaire pour ceux qui essuient des refus successifs. En théorie ça devrait être simple, car c’est vital quand les situations
· Il y a quelques mois, Mohammed (famille soudanaise de Lille) s’était rendu compte que suite au processus de réunification familiale, son fils Ahmed avait été placé par erreur sous statut de « personne protégée » et qu’à ce titre son passeport
Marcq-Terre-d’Accueil est une petite structure. Elle n’a pas peur de s’allier avec les gros. C’est nous qui avons fait le choix de conclure un double partenariat il y a quatre ans avec Coallia et SOLiHA, deux associations de dimension nationale
Avant de rejoindre sa Provence natale, Monique m’avait laissé ce superbe bégonia qui fleurit aujourd’hui dans mon arrière cuisine… Elle avait surtout permis à Marcq Terre d’Accueil de rencontrer une famille réfugiée du Yémen que nous continuons d’accompagner maintenant à
D’abord, il faut commencer par les vœux. L’usage en début d’année est de présenter à tous des souhaits de bonheur, de santé et de progrès. Ce sont des vœux que nous formulons pour l’ensemble de la communauté que nous formons
‘’Allo !’’, sa voix a littéralement explosé dans l’habitacle de la voiture (ce sont des choses qui arrivent depuis que ma femme possède un de ces Iphones qui se connectent automatiquement aux haut-parleurs !) ‘’Allo ! Oui ! Bonjour ! J’entends pas !’’… derrière, un
Elle est paradoxale, l’assertion de Sophie DJIGO : « la crise migratoire n’existe pas », Elle est paradoxale tant on nous convainc du contraire, tant on étaie le raisonnement de chiffres et d’images, de théories, Elle est paradoxale, mais elle est assise
Quelques nouvelles des 2 familles amies venant du Yémen et de Syrie qui ont posé leurs valises voici quelques mois à Ronchin, et que nous aidons dans leur parcours d’intégration ; deux familles très sympathiques et volontaires pour s’en sortir, compte-tenu
Finies les longues files d’attente sur le trottoir de la préfecture, fini le tête à tête au guichet où plaider sa requête. Covid 19 – et informatisation des services – obligent : on ne dépose plus ses dossiers qu’en « pièce-jointe »
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