Voilà plus d’un mois que le déconfinement a débuté. Mes 2 « anciennes » élèves de Culture et Partage attendaient que le ramadan s’achève pour l’une, reprendre son travail d’aide ménagère et pour l’autre conduire ses 4 enfants à l’école primaire 2
Chroniques de déconfinement, 14 mai
Y., réfugiée du Burundi avec 4 enfants, avait fait un stage dans un Ehpad. Elle a pu garder ce travail en période de confinement pour remplacer du personnel absent. Elle se retrouve avec ses amis, Françoise et Gérard, de MTA
Chroniques du déconfinement, 13 mai
Lundi 11 mai, déconfinement pour tous ! Repas entre amis et débriefing sur le vécu de chacun, sorties sans autorisation (mais avec masque) et dans un rayon de 100 km (ce qui pour ma part ne me permet pas de
Chroniques du confinement, 10 mai
Et bientôt la ‘’Chronique du dé-confinement’’ ? Après ces longues semaines de compagnonnage à distance, balisées par de brefs contacts virtuels, souvent limités par les problèmes de la langue et les frustrations qu’ils entraînent, s’annonce enfin, toute proche, la possibilité
Chroniques du confinement, 9 mai
Je suis enseignante de CP/CE1 et tenais à vous faire partager mon expérience de professeur des écoles confinée et qui doit assurer la continuité pédagogique de ses élèves. Nous n’étions pas préparés à telle situation, nous n’étions pas formés pour
Chroniques du confinement – MTA s’engage aussi pour les « sans papier »
La pandémie que nous traversons a révélé au grand jour la situation inquiétante des personnes sans papiers, condamnées à l’errance perpétuelle aux marges de la société. Avec les 470 associations que Marcq Terre d’Accueil a, à sa naissance, rejointes en
Chroniques du confinement, 1er mai
Pour ce 1er mai, des outils bien utiles pour préparer le proche dé-confinement : La comptine « lave tes mains » pour apprendre aux petits enfants à se laver les mains : Ecouter la comptine Un tutoriel pour confectionner soit même (en
Chroniques du confinement, 29 avril
Quelques nouvelles de M.H, jeune homme afghan. La survenue du confinement n’a pas été sans quelques complexités administratives. M. ne parle que l’anglais ; la jeune travailleuse sociale qui s’occupe de lui (évidemment à distance) maîtrise mal cette langue, mon